Lundi au Vendredi
de 8h à 12h et de 14h à 18h
Janvier 2020
Le refus des autorités françaises de transcrire l’intégralité des actes de naissance d’enfants nés d’une GPA sur les registres de l’état civil français ne constitue pas une violation de l’article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme, dès lors que le droit interne offre une possibilité de reconnaissance du lien de filiation entre les enfants requérants et leur mère d’intention par la voie de l’adoption.
CEDH, 12 déc. 2019, nos 1462/18 et 17348/18